Alors que la société s’enorgueillit d’un bénéfice record de 20,2 milliards de dollars pour son dernier trimestre, Intel licencie. L’information, révélée le mois dernier par le Silicon Valley Business Journal, est confirmée par sdxCentral. Selon le site d’information technologiques, moins de 1% des salariés sont licenciés. On notera tout de même que cela peut représenter jusqu’à un millier de postes. Un document du département du développement de l’emploi de Californie recense 128 postes supprimés dans l’Etat (y figurent également des suppressions d’emplois chez Riverbed, Symantec, Cisco, Oracle, Dell, NortonLifeLock et VMware)
« Les changements dans nos effectifs sont dictés par les priorités de notre entreprise, que nous évaluons continuellement. Alors que nous entrons dans 2020, nos unités commerciales concentrent leurs ressources sur les domaines où nous avons les plus grandes opportunités de croissance et, dans ce cadre, certaines envisagent d’éliminer les rôles associés à des projets qui ne sont plus prioritaires », a indiqué un porte-parole d’Intel dans un e-mail transmis à nos confrères. Ce document ne précise pas les activités ni les zones géographiques concernées.
La firme de Santa Clara affirme que certains travailleurs dont les postes sont supprimés seront réaffectés « dans la mesure du possible », et ajoute que 1.300 postes sont ouverts aux Etats-Unis.