De nos jours,tous les véhicules sont équipés de ceintures de sécurité.Logique, puisque les études montrent clairement que ces dispositifs sauvent des vies et atténuent le risque de blessures.L’agence fédérale américaine des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) estime par exemple que « les ceintures de sécurité réduisent environ de moitié les séquelles graves et les décès liés aux accidents de la route ».

Ce chiffre est d’autant plus parlant quand on sait qu’aux États-Unis, toujours d’après les CDC, « les services d’urgence ont accueilli plus de 2,2 millions de conducteurs et de passagers adultes impliqués dans un accident de la circulation en 2012 » et que, la même année, « les blessures dues à des collisions non mortelles ont entraîné plus de 50 milliards de dollars de frais imputables aux soins médicaux à vie et à la perte d’emploi ».

Pourtant,chaque année,trop de personnes perdent encore la vie ou gardent de lourdes séquelles parce qu’elles n’ont pas attaché leur ceinture de sécurité.

Imaginez le nombre de victimes si cet équipement n’était pas obligatoire à bord de nos véhicules.Chaque conducteur,engageant sa propre responsabilité, devrait rechercher et comparer les options disponibles, acheter le dispositif de son choix, l’installer,veiller à son efficacité et s’occuper de sa maintenance.

Dans ce scénario, croyez-vous que la majeure partie des automobilistes ferait l’impasse sur cet investissement de sécurité ? Cela est peu probable, étant donné que nous connaissons tous les risques auxquels nous nous exposons en conduisant sans ceinture.

Mais pour des raisons qui semblent défier la logique, bon nombre d’entreprises refusent toujours d’investir dans des solutions de gestion et d’automatisation des correctifs.Certains dirigeants pensent en effet qu’il est plus simple et plus rentable pour leurs équipes de travailler sur des systèmes mal voire non sécurisés. Ils connaissent pourtant l’ampleur des risques encourus et voient d’autres entreprises du secteur payer régulièrement, chèrement et publiquement cette négligence.

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