SQLI a réalisé, au cours du 1er semestre un chiffre d’affaires de 79,0 millions d’euros contre 81,3 millions d’euros un an plus tôt. Ce chiffre intègre la contribution du pôle Solutions Santé (4,1 millions d’euros) dont la

cession vient d’être annoncée. Sur la base du nouveau périmètre d’activité, le chiffre d’affaires du semestre est en repli de 1,6%. Une variation que la SSII attribue à un effet jour défavorable (2 jours ouvrés en moins).

Le taux journalier moyen (TJM) à fin juin 2013, impacté par un recours accru à l’offshore, s’élève à 473 euros contre 491 euros un an plus tôt. Le taux d’activité atteint 81,5% contre 81,1% l’an dernier. 

Au 30 juin, le groupe comptait 1.775 collaborateurs (hors stagiaires) contre 1.806 à fin juin 2012.

SQLI table sur la réduction des coûts et sur l’arrêt d’activités déficitaires pour compenser le recul du chiffre d’affaires. Le taux de marge opérationnelle courante du 1er semestre est ainsi attendu stable sur un an  à 4,1%. 

Dans un communiqué la SSII précise que les performances de la branche SAP pourraient conduire à une dépréciation comptable (non cash) dans les comptes semestriels. Par ailleurs, SQLI

enregistrera dans ses comptes du second semestre une plus value provenant de la cession du pôle Solutions Santé.

Les résultats du 1er semestre 2013 confirment l’enjeu du prochain plan stratégique qui sera présenté par le nouveau directeur général, Didier Fauque, le 26 septembre prochain à l’occasion 

de la publication des comptes semestriels.

SQLI table sur son expertise e-business et la très forte dynamique du marché du digital pour renouer avec une croissance  alliant progression organique et acquisitions. La trésorerie brute de la société (18 millions d’euros) et le produit de cession du pôle Santé (6,6 millions d’euros) devraient faciliter la mise en œuvre de cette stratégie.