Palo Alto Networks a dépassé les prévisions des analystes en termes de chiffre d’affaires et de bénéfice. Au deuxième trimestre, le chiffre d’affaires de l’éditeur de solutions de cybersécurité a bondi de 30% pour atteindre 711,2 milliards de dollars. Les revenus de l’activité produit, qui comprend la solution pare-feu Panorama, a bondi de près de 33% pour atteindre 271,6 millions de dollars, alors que Wall Street tablait sur 243,1 millions de dollars. De son côté, le chiffre d’affaires du segment souscriptions et support a grimpé de 29% à 439,6 millions de dollars au deuxième trimestre. Les analystes attendaient en moyenne 438,4 millions de dollars de ce secteur, qui génère plus de la moitié du chiffre d’affaires total de la société.

La perte nette GAAP s’est établie à 2,6 millions de dollars, ou 0,03 dollar par action diluée, contre une perte de 25,6 millions de dollars, ou 0,28 dollar par action diluée, pour le deuxième trimestre de 2018.

Le bénéfice net non-GAAP atteint 147,0 millions de dollars, ou 1,51 dollar par action diluée, par rapport à un bénéfice net de 98,7 millions de dollar, ou 1,05 dollar par action diluée un an auparavant. Les analystes tablaient sur 1,22 dollar.

Pour le trimestre en cours, la société prévoit un chiffre d’affaires compris entree 697 millions de dollars et 707 millions de dollars, alors que les analystes s’attendaient à 697 millions de dollars.

« Nous restons concentrés sur la fourniture à nos clients de la meilleure sécurité du marché », affirme dans un communiqué Nikesh Arora, CEO de Palo Alto Networks. « Nos produits et services récemment introduits, y compris Cortex XDR, Traps 6.0, PAN-OS 9.0, l’abonnement au service de sécurité DNS et notre pare-feu de nouvelle génération le plus rapide jamais créé, associés à la proposition d’acquérir Demisto renforcent et élargissent encore nos capacités à rendre la sécurité plus simple et plus efficace, grâce à l’utilisation de l’intelligence artificielle, de l’analyse, de l’automatisation et de l’orchestration. »

Palo Alto a annoncé qu’il rachèterait des actions pour une valeur d’un milliard de dollars.