L’entreprise américaine d’infrastructure cloud déclare un manque de capacité dans quatre de ses treize datacenters dans le monde.
« En raison de la capacité limitée des centres de données AMS2, NYC2, SFO1 et SFO2, la création de ressources est désactivée dans ces régions », pouvait-on lire dans un communiqué durant l’été. « Cependant, les utilisateurs ayant déjà des Droplets dans ces centres de données peuvent y créer des Droplets supplémentaires ».
Précisons qu’AMS2 se trouve à Amsterdam tandis que les acronymes NYC et SFO représentent New York et San Francisco. Digital Ocean définit ses ‘droplets’ comme des machines virtuelles (VM) basées sur Linux qui fonctionnent sur du matériel virtualisé.
Les neuf autres centres de données de Digital Ocean – un à Amsterdam (AMS1), un à Francfort (FRA1), un à Londres (LON1), deux à New York (NYC1 et NYC3), un à San Francisco (SFO3), un à Singapour (SGP1), un à Toronto (TO1) et un à Bangalore (BLR1) – peuvent encore accueillir des Droplets.
The Register a voulu en savoir plus sur les raisons de ces restrictions mais n’a pas obtenu de réponse. Selon notre confrère, Digital Ocean est particulièrement sensible aux coûts et préfère que ses clients utilisent des centres de données disposant d’une grande capacité disponible, déjà achetée et déployée.