Depuis le 1er février, l’accès à la plateforme de cloud computing Azure de Microsoft est commercialisé auprès des développeurs d’une vingtaine de pays, au tarif de 12 cents l’heure ou, pour un abonnement de six mois, à 59,95 dollars le mois. De quoi, avec 750 heures de travail et la capacité de stockage qui y correspond, trouver les outils et les ressources pour concevoir des produits logiciels à la sauce « cloud computing». Mais des voix s’élèvent déjà outre-atlantique pour dénoncer des tarifs trop élevés pour les petites entreprises et les développeurs indépendants qui risquent de compromettre l’adhésion de ces derniers, compte tenu de la concurrence de Google, Salesforce et autre Amazon sur ce terrain.