HP avait présenté le premier volet de son projet Moonshot de développement de serveurs à très basse consommation début novembre dernier. Pour cette première phase, le groupe avait misé sur des

puces ARM 32 bits signées Calxeda installées dans un boîtier au format 4U. Nom de code : Redstone. Mais le groupe avait également indiqué travailler sur une plateforme exploitant les processeurs Atom d’Intel. Et c’est donc ce qu’il vient de présenter, avec la plateforme Gemini, second volet, donc, du projet Moonshot. 


Gemini exploite des processeurs Atom de la future génération Centerton. HP destine encore cette plateforme à des traitements relativement peu gourmands en ressources processeur – comme la réponse à des requêtes de pages Web – et surtout capables de fonctionner sur une architecture distribuée mais physique et non pas virtualisée. 

Mais la plateforme Gemini n’est pas exclusivement limitée aux processeurs Atom. De fait, les processeurs doivent être proposés sous la forme de cartes, voire de cartouches interchangeables… y compris avec des processeurs ARM. 

Dans le contexte de la présentation de Gemini, la plateforme Redstone apparaît in fine comme un simple outil expérimental quand Gemini a tous les airs d’une plateforme serveur modulaire particulièrement flexible. 

 

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