65% des décideurs informatiques européens disposeront cette année de budgets informatiques accrus pour s’adapter aux nouvelles formes de travail, à distance ou hybride, mais aussi pour assurer la continuité des activités. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée auprès de 1000 décideurs IT senior, travaillant dans des moyennes et grandes entreprises, commandée par Dynabook (nouvelle marque issue du rachat de Toshiba par Sharp).

Ces décideurs tablent sur le fait que plus de deux tiers (67%) des employés travailleront à domicile ou sans lieu défini après la pandémie, contre 53% avant. Leurs priorités d’investissement varient de manière sensible selon les pays. Les décideurs français mettent en avant les solutions cloud (48%), la cybersécurité (44%) et plus en retrait le support à distance. Ce dernier prime pour les Britanniques et la cybersécurité pour les Espagnols. Viennent ensuite pour les décideurs français l’équipement avec des matériels adéquats (38%) et les outils collaboratifs (36%) en cinquième position.

La suite de l’étude est plus orientée puisque mettant l’accent sur l’importance accrue accordée aux ordinateurs portables. Deux tiers des répondants prévoient d’inclure davantage d’ordinateurs portables à leur infrastructure de travail à distance au cours des 12 prochains mois. Le recours à des PC de bureau reste une option plus ou moins populaire selon les pays, 33% seulement pour les Britanniques mais 47% tout de même pour les Français.

Concernant les caractéristiques et fonctionnalités attendues pour les postes distants, la sécurité arrive en tête (81%), suivies par la connectivité (80%), les performances (76%), la durée de vie de la batterie (72%) et la mobilité (70%).

The hybrid shift – Managing an increasingly remote workforce. Présentation de l’étude et lien pour la télécharger ici.