Acquises en février 2016 par Konica Minolta, Dactyl Buro et OMR fusionnent leurs activités dans une seule et même entité juridique : Konica Minolta Centre Loire (KMCL). La direction régionale Pays de Loire est transférée vers cette nouvelle entité, dont la présidence est assurée par Michel Tatin, précédemment PDG de Dactyl Buro. Ce dernier est chargé du développement opérationnel de KMCL ainsi que de la diversification des activités sur cette zone géographique. L’objectif est de construire une offre globale qui mutualise les savoir-faire autour des 4 piliers stratégiques du Groupe Konica Minolta : solutions d’impression, services informatiques, impression industrielle/impression de production et santé dans une optique de réactivité et de rapprochement avec les clients locaux.

KMCL représente 270 collaborateurs et un chiffre d’affaires78 millions d’euros. Plus de 8.500 clients sont à ce jour entièrement gérés par cette nouvelle entité. Des résultats qui classent KMCL dans le Top10 des filiales du groupe Konica Minolta au niveau européen.

 « L’acquisition de Dactyl Buro et OMR nous avait permis de consolider notre présence dans une région stratégique, en capitalisant sur une organisation qui a toujours su faire preuve de réactivité et d’agilité », affirme dans un communiqué Jean-Claude Cornillet, président de Konica Minolta Business Solutions France. « En créant KMCL, nous entendons accélérer le développement de cette nouvelle entité. Celle-ci pourra notamment tirer parti des dernières innovations du Groupe Konica Minolta, comme le Workplace Hub, notre nouvelle plateforme de services informatiques qui accompagne les PME dans leur transformation digitale, pour se démarquer sur son tissu économique local. »

« L’autonomie garantie par Konica Minolta à ses directeurs de régions permet à KMCL de conserver l’agilité et la proximité clients qui faisaient la force des filiales Dactyl Buro et OMR. Notre ambition est de continuer à offrir les meilleurs services à nos clients, tout en développant de nouvelles expertises grâce à la mutualisation des savoir-faire et au soutien de la maison mère », indique de son côté Michel Tatin.