Le constructeur de solutions d’impression met à profit la prochaine Journée de la Terre pour lancer une série d’initiatives autour des bonnes pratiques environnementales. Une opération qu’il a baptisée « Mois de la Terre ».

 

Le papier détruit-il l’environnement ? C’est la question que posera Lexmark à l’occasion d’une table ronde qui se déroulera dans ses locaux le 22 avril prochain, date de la Journée de la Terre. Lors de cet événement, auquel participeront des représentants de l’Ademe (Agence française pour la maîtrise de l’énergie), de la Copacel (Confédération française des fabricants de papiers) et le responsable du projet Eco-paperasse de la SNCF, Lexmark publiera les résultats d’une étude montrant que le papier est responsable des deux tiers de l’impact environnemental de ses produits au cours de leur cycle de vie, loin devant les cartouche et la consommation énergétique.

Cette table ronde, à laquelle seront conviés une centaine de clients et de journalistes, sera le point d’orgue d’une série d’initiatives, qui se succèderont tout au long du mois d’avril, visant à promouvoir les bonnes pratiques environnementales. Au premier rang de ces bonnes pratiques Lexmark suggère d’ « imprimer moins ». À cette injonction qui correspond précisément à son actuelle signature publicitaire, la réponse de Lexmark consiste à promouvoir ses imprimantes recto-verso.

Dans le cadre de cette opération, qu’il a baptisée « Mois de la Terre », le constructeur se propose notamment de sensibiliser son réseau de distribution à la nécessité d’économiser le papier en lui proposant 25% de remise sur une sélection d’imprimantes recto-verso (voir l’article sur le sujet). Une campagne d’information sur cette thématique sera également relayée auprès du grand public via la grande distribution autour de son multifonction jet d’encre recto-verso X4850.

Le constructeur précise par ailleurs dans un communiqué qu’il soutiendra pour la première cette année la lutte que mène la fondation Rainforest UK pour la préservation de la forêt tropicale en versant une contribution qui permettra de protéger l’équivalent de 242 hectares de forêt.