Ernest Quingles, l’actuel directeur général d’Epson France, Espagne et Portugal, est nommé directeur commercial pour l’Europe, le Moyen-Orient et la Russie (EMEAR) du fabricant japonais d’imprimantes. Avant de rejoindre ce dernier en avril 2014, cet Espagnol fut pendant un peu plus de 8 ans directeur général de Tech Data Italie. Il avait commencé sa carrière comme auditeur chez Arthur Andersen.

Darren Phelps a, quant à lui, été nommé directeur exécutif Imagerie et Impression Professionnelles d’Epson Europe. Entré chez le fabricant en février 2016, il occupait depuis cette date les fonctions de directeur du réseau de distribution d’Epson Europe.  Ancien responsable channel d’Acer UK, il avait rallié Lenovo en 2006 où il occupa successivement les fonctions de directeur de la BU Desktops, directeur des ventes channel Royaume-Uni et Irlande, directeur des ventes Royaume-Uni et Irlande et directeur channel Royaume-Uni et Irlande, par ailleurs en charge des serveurs et du stockage pour le marché SMB.

Ces nominations s’inscrivent dans le cadre de la deuxième phase du programme d’investissement européen de 50 million d’euros d’Epson (qui porte sur les infrastructures, les technologies de l’information, le marketing et l’accroissement des effectifs de l’entreprise). Le programme inclut une augmentation de la masse salariale de 10% et a pour objectif de générer un chiffre d’affaires de 2 milliards d’euros en 2020.

« Le marché de l’impression jet d’encre représente une grande opportunité de croissance pour Epson en Europe », explique dans un communiqué le vice-président d’Epson Europe, Rob Clark. « Les entreprises qui ont choisi de passer de l’impression laser au jet d’encre ont compris qu’elles pouvaient obtenir des avantages concurrentiels non négligeables comme par exemple des économies d’énergie jusqu’à 96 %, une réduction des émissions de CO2 de 92 % et une diminution des déchets de 95 %. »

Le groupe a investi 400 millions d’euros dans une nouvelle usine de production d’imprimantes jet d’encre et compte investir 185 millions d’euros supplémentaires pour continuer à développer sa technologie de têtes d’impression PrecisionCore durant les trois prochaines années.