L’opérateur Serveurcom annonce l’acquisition de Planet-Work, spécialiste parisien de la conception d’architectures techniques en matière d’hébergement web. L’opération, conclue le mois dernier, a pour objectif de répondre aux désirs des professionnels qui souhaitent disposer, auprès d’un même opérateur, d’une offre intégrée associant les services de communications unifiées à des solutions d’hébergement infogéré.

Créé au Mans en 2004, Serveurcom a développé et structuré son offre jusqu’à devenir opérateur global de télécommunications proposant des offres de téléphonie fixe et mobile, d’accès Internet et de communications unifiées. La société est aujourd’hui présente sur l’ensemble du territoire, en vente directe autour de son implantation historique (Le Mans, Angers, Tours), et par le biais d’un réseau d’environ 200 partenaires couvrant les autres régions. Les solutions de Planet-Work – hébergement de sites web et d’applications, gestion de noms de domaines – viennent compléter le catalogue de l’opérateur qui travaille désormais sur l’intégration de nouvelles solutions : PRA/PCA, sauvegarde externalisée… « Pour nos partenaires, l’accès et la vente de ces nouvelles offres seront aussi simples que celles de nos solutions de communications unifiées : en quelques clics depuis notre plateforme dédiée. Laquelle intègre l’ensemble des processus de vente, depuis la création du client jusqu’à sa facturation », promet dans un communiqué le fondateur et dirigeant de Serveurcom, Damien Watine.

La marque Planet-Work est conservée et dédiée aux solutions d’hébergement web, tandis qu’Arnaud Gautier, dirigeant et fondateur de Planet-Work, prend la direction de la stratégie et du développement de la nouvelle division ainsi créée.

Pour Serveurcom, qui a enregistré au cours des quatre dernières année une croissance organique de 150 %, cette première acquisition est une étape capitale dans le développement du groupe. Précisons qu’elle intervient l’année même où, pour la première fois, le chiffre d’affaires devrait dépasser 20 millions d’euros.