En cas de préjudice pour leurs clients, les entreprises américaines victimes du rançongiciel WannaCry, peuvent être poursuivies pour avoir fait preuve de laxisme en matière de cybersécurité en conservant une ancienne version de Windows non mise à jour. C’est ce qu’indique Seeking Alpha qui précise qu’en revanche Microsoft semble à l’abri des poursuites. « Utiliser de vielles versions de Windows qui ne sont plus supportées pose un tas de questions », a expliqué au site d’informations économiques IT Christopher Dore, un juriste du cabinet Edelson PC, spécialisé en droit numérique. « On peut leur opposer qu’ils ont été délibérément négligents en laissant ces systèmes en place. »