Créé il y a six ans à l’initiative de Philippe Sordet, ex-consultant pour la Ficome, et Pascal Prévot (ex-CMIT), le Club des dirigeants réseaux et télécoms ne cesse de prendre de l’ampleur et de gagner en influence. Le club d’affaires vient ainsi de franchir la barre des 130 adhérents et compte pas moins 106 sociétés représentées parmi lesquelles les principaux intégrateurs télécoms et opérateurs de services français tels Hub One, Scopelec, Sewan, Adista, Foliateam, Nerim, Jaguar Network ou Keyyo et quelques éditeurs internationaux tels que Microsoft, Polycom, Broadsoft ou Arkadin.
Depuis septembre dernier, le CDRT est membre partenaire associé du Syntec numérique auquel il apporte sa caution dans le monde des télécoms et qui lui a procuré en retour de nombreuses adhésions d’ESN et d’intégrateurs IT (parmi lesquels Cheops Technology, T-Systems ou Tibco).
Sa vocation initiale reste toujours la même : réunir dans un cadre convivial des dirigeants d’intégrateurs en téléphonie et d’éditeurs/intégrateurs IT pour favoriser les échanges et réfléchir à l’évolution de leurs métiers dans un contexte de convergence des technologies informatiques et télécoms. Le CDRT privilégie ainsi les dîners-débat dans des lieux prestigieux (Maison des polytechniciens, Assemblée Nationale, Sénat) ou atypiques (Maison Lassagne à Lyon) animés par des intervenants pertinents sur des thématiques au cœur des péocupations de ses membres : fin du RTC, accès au très haut débit, ubérisation des télécoms, cybersécurité, etc. Une formule qui marche.
Avec le temps et le succès, les profils des adhérents se sont diversifiés : sociétés de services, équipementiers, opérateurs d’infrastructures, opérateurs de services… Jusqu’à devenir représentatif de l’ensemble de l’écosystème de la communication et de la collaboration unifiée.
Sous la houlette de son nouveau président, Laurent Silvestri, élu le mois dernier, le CDRT s’attache désormais à cultiver son influence et à développer sa couverture. Après avoir ouvert des délégations en Rhône-Alpes – qui vient d’atteindre les 32 adhérents – et en région Provence-Alpes Côte d’Azure, le club vient de mettre en orbite sa troisième délégation régionale en Occitanie le 15 février. Et une quatrième délégation pourrait voir le jour prochainement sur la région Grand Ouest.
En parallèle, Laurent Silvestri s’est donné pour mission d’accroître la visibilité des membres du CDRT afin d’installer le club dans un rôle d’influenceur à l’échelle de l’ensemble du marché IT.
Le prochain dîner-débat du CDRT se tiendra le 3 mai prochain au Sénat sur le thème : « la transformation des entreprises et émergence des nouvelles générations : comment les jeunes générations impactent nos entreprises du numérique ».