Watchguard s’inscrit désormais dans une stratégie de plateforme de cybersécurité unifiée avec comme pièce maîtresse son offre XDR (eXtended Detection and Response), ThreatSync. Vitaminée à l’IA, celle-ci a vocation à corréler les informations de sécurité générées par ses différentes briques de sécurité : pare-feu, EDR, MFA, Wifi et, bientôt NDR. Cette approche plateforme, initiée il y a deux ans, les partenaires sont de plus en plus nombreux à s’y convertir. Pascal Le Digol, directeur général de Watchguard France (photo), estime que sur les quelque 700 partenaires actifs de la marque, une soixantaine a déjà pris le virage.
Ce sont ces partenaires que l’éditeur a choisi de réunir les 14 et 19 novembre sur les circuits automobiles des 24 heures du Mans et du Laquais (à Champier en Isère). Au programme : une matinée consacrée aux derniers développements de sa stratégie XDR suivie d’un après-midi sensations fortes à bord de bolides Porsche (circuit des 24 heures), ou Ferrari 488 GTB et Lamborghini Huracan LP610-4 (circuit du Laquais). Objectif : faire un point d’étape sur sa stratégie XDR et remonter leurs besoins et leurs attentes en la matière.
Le matin, il sera beaucoup question d’IA : Watchguard présentera les dernières avancées de l’IA en matière de cybersécurité et s’attachera notamment à mettre en lumière les mécanismes de détection et de réponse basés sur l’IA. L’éditeur en profitera pour réexpliquer les notions d’EDR, XDR, NDR et MDR et reviendra sur la sortie récente (juin dernier) de son NDR et son bon accueil par le marché.
Après un premier semestre sans croissance, conséquence à la fois « de l’inflation, du contexte politique et des dernières échéances des PGE », Pascal Le Digol observe un rebond de l’activité et des projets au troisième trimestre mais de manière inégale selon les régions.