Dassault Systèmes co-préside l’Alliance pour l’Industrie du Futur, responsable de l’exécution de la seconde phase du programme stratégique de modernisation industrielle de la France lancé par le gouvernement. Annoncée par ce dernier le 18 mai, l’Alliance pour l’Industrie du futur repose sur la convergence des usines, des objets connectés, de la réalité augmentée, de la robotique, du Big Data, de la cybersécurité et d’autres technologies, toutes au cœur des innovations technologiques accomplies depuis trente ans par l’éditeur dans les domaines de la conception, de la simulation et de la fabrication numérique.

L’Alliance pour l’Industrie du Futur est un groupement d’entreprises technologiques, d’associations professionnelles et de partenaires universitaires dont la mission est de promouvoir le programme du gouvernement français en vue de digitaliser l’industrie.

Dassault Systèmes va élaborer le programme de digitalisation à la base de l’initiative « Industrie du futur », mais va aussi lancer des projets de R&D collaboratifs pour combler certains manques qui existent aujourd’hui en matière de technologies. La société souhaite également moderniser les méthodes de fabrication numérique des PME en France et en Europe en favorisant la collaboration internationale grâce à l’identification de synergies.
Elle va s’appuyer pour cela sur l’expertise acquise dans les domaines de la science des matériaux, l’usine numérique, la fabrication en tant que service, la mécatronique et les systèmes de systèmes, et la fabrication numérique.

« Cette Alliance pour l’Industrie du Futur représente un pôle d’une dimension complètement nouvelle, en regroupant des compétences et orientant les investissements au niveau national », déclare dans un communiqué Bernard Charlès, directeur général de Dassault Systèmes. « La prise en compte par le gouvernement des enjeux, ainsi que les initiatives déjà amorcées pour innover, suscitent un nouvel enthousiasme. Aujourd’hui, le challenge consiste à encourager et rendre possible la transformation numérique à tous les niveaux de l’écosystème des petites et moyennes entreprises, véritable moteur de la compétitivité industrielle au sens large, en coopérant avec des initiatives européennes similaires actuelles, telles que l’Industrie 4.0 ».