Divalto vient de publier ses résultats pour son exercice 2017. Le chiffre d’affaires a progressé de 18%, dont 11% d’organique, à 24,7 M€. C’est 10 points de croissance gagnés par rapport à l’année dernière. La part non organique de cette croissance provient du rachat de son master distributeur Suisse ADD fin 2016.

Les trois quarts du chiffre d’affaires (18,7 M€) proviennent de la division ERP, qui comprend son ERP Infinity mais également sa solution de gestion SaaS pour les TPME, Idylis. Cette BU ERP affiche une croissance de 13% (environ 10% en organique). Sa division CRM affiche également une forte croissance (+15%) à 6 M€, dopée par la croissance de 17% de son offre de CRM mobile pour commerciaux et techniciens nomades SwingMobility.

Point commun des deux divisions : c’est le SaaS qui tire leur croissance. Si la croissance d’Idylis est en deça des 10% de la division ERP, la déclinaison SaaS de son ERP Infinity décolle nettement, souligne Jérôme Virey, directeur général de Divalto en charge de la BU ERP. Ainsi la moitié des 190 nouveaux dossiers gagnés en Infinity en 2017, l’ont été sur la version SaaS, précise-t-il. Sur sa division CRM, Divalto revendique même une progression de 30% de ses revenus SaaS. Si bien que le SaaS représente désormais entre 15% et 25% du chiffre d’affaires gloabal de l’éditeur.

Côté partenaires, le réseau est resté relativement stable côté ERP, avec une centaine de partenaires certifiés. Divalto a tout même convaincu 5 ou 6 partenaires de le rejoindre parmi lesquels GMT Conseil à Pau et Format à La Réunion. Mais c’est surtout du côté de sa division CRM que le réseau s’est étoffé avec une vingtaine de nouveaux partenaires – parmi lesquels Abonite Consultants à Montigny Le Bretonneux, ou OGI à Rennes – ce qui porte à 30 le nombre de ses partenaires labellisés sur cette division.

Pour l’année en cours, Divalto prévoit de poursuivre sur sa lancée avec notamment une croissance de 30% des revenus SaaS et une cinquantaine d’embauches. Ce qui devrait porter son effectif à près de 270 personnes, contre 230 à fin 2017 (et 210 à fin 2016).