Une enquête réalisée en octobre 2013 par IT Research pour le compte de Mitel et Aastra auprès de 232 DSI de sociétés des secteurs privé et public, détenant au moins un établissement en France et employant entre 300 et 10.000 salariés, revient sur les usages et la perception de la téléphonie dans le cloud dans l’Hexagone.

Il en ressort qu’un tiers (34%) des DSI se disent attirés par la souplesse et l’évolutivité des solutions Cloud. Viennent ensuite la flexibilité et la maîtrise des coûts grâce à son mode de paiement à l’usage et modulable (pour 22% des sondés), l’externalisation de la téléphonie vers un tiers (15% des DSI interrogés) et l’évolution vers une solution de communication unifiée pour 11% des responsables interrogés.

Les trois contraintes au développement de la téléphonie en mode cloud les plus citées sont la réversibilité de la solution (27% des DSI), la contrainte de la bande passante (24% des répondants) et le niveau fonctionnel insuffisant au regard des besoins (23% des sondés). Ce dernier point peut s’expliquer par les désillusions générées dans le passé par les solutions IP Centrex. Enfin, fait surprenant, la sécurité est seulement citée par 16% des répondants.

Concernant le type de cloud à privilégier, plus de la moitié (52%) des DSI estiment que la téléphonie en mode cloud est idéalement une solution de cloud privé. Toutefois, 29% des responsables informatiques sont aujourd’hui ouverts à une approche hybride, une solution de téléphonie de ce type pouvant offrir à son utilisateur à la fois les garanties associées à un environnement privé, et les avantages que peuvent procurer les architectures de cloud public.