L’équipementier télécoms aurait embauché, selon le Wall Street Journal, des conseillers juridiques pour étudier l’éventualité de son placement sous le régime de protection des faillites. Une issue démentie par Nortel mais qui ne paraît plus improbable compte tenu de l’évolution de son activité. Au cours du troisième trimestre, son chiffre d’affaires a reculé de 14% et sa perte nette a atteint 3,4 milliards de dollars. Au cours des neuf premiers mois de l’année sa trésorerie a reculé de 500 millions de dollars remarquent Les Echos.