Le constructeur informatique annonce le lancement d’un programme, baptisé Eco Advantage Program, visant à transmettre à ses partenaires son savoir-faire en matière d’optimisation énergétique.

 

Sun encourage ses partenaires à « verdir » leurs prestations. Très versé dans les problématiques d’optimisation des dissipations thermiques des data center, Sun lance Eco Advantage Program, un programme à l’usage de ses partenaires pour les inciter à acquérir l’expertise qu’il a accumulée dans ce domaine et à développer une offre de services associée.

Pour être certifiés Eco Advantage, les partenaires devront suivre un cursus de formation de soixante douze heure qui passe en revue les bonnes pratiques à mettre à œuvre pour optimiser la consommation énergétique des datacenters et des systèmes d’information de leurs clients. Les principales thématiques abordées concernent l’optimisation énergétique des systèmes et de la climatisation, l’augmentation de la densité et la virtualisation. Sun met en outre à leur disposition un ensemble d’outils et de ressources d’audit et d’aide à la préconisation.

Ce cursus s’adresse aux partenaires Sun ayant une activité d’intégration de systèmes ou de conseil en architecture. Sun recommande par ailleurs aux candidats à la labellisation Eco Advantage de justifier d’une certification de niveau 1 sur les technologies x86 et les logiciels et d’une certification de niveau 2 sur le stockage et l’offre Sparc. Le constructeur préconise également d’être déjà accrédité VMware certified Professional.

« L’objectif est évidemment d’aider les partenaires à répondre à une demande de plus en plus forte des clients en matière d’augmentation de la capacité de calcul de leurs datacenters et d’optimisation de leur dépense énergétique, deux attentes qui transparaissent clairement dans les leads que nous remontons actuellement, assure Bruno Hourdel, directeur marketing de Sun France. Des attentes qui appellent pour l’instant des offres de prestations de conseil et d’intégration mais qui demain se traduiront par des projets de remplacement de plates-formes », conclut-il.