Créée il y a un an, Solidaires Informatique réunit des élus et des adhérents d’une quinzaine de sociétés de services informatiques. Le syndicat vise un développement national.
Ils ne sont encore que quelques-uns mais ils ont l’ambition de se développer au plan national en fédérerant tous les élus venant des entreprises du secteur de l’informatique, des télécoms et de l’électronique qui ne se reconnaissent pas dans les organisations syndicales traditionnelles.
Les 6 et 7 février dernier, le tout jeune syndicat Solidaires Informatique a tenu son premier congrès extraordinaire en présence d’une quarantaine de délégués et sypathisants. L’occasion pour cette organisation affiliée à l’Union syndicale Solidaire (Solidaires) de renouveller son bureau et de publier son premier positionnement sur le thème du vote électronique.
À l’issue de sa première année d’existence, ce syndicat revendique des élus et adhérents venant d’une quinzaine de sociétés du secteur, parmi lesquelles Astek, UTI, Ajilon, Capgemini, Atos, Sopra, Sogeti, GFI, Steria, BT Services et Nextiraone. C’est d’ailleurs des élus de Nextiraone qui sont à l’origine de la création de l’organisation et qui ont été à l’initiative de son implantation dans les autres sociétés.
L’organisation n’a pas encore de site Internet qui lui soit propre mais édite un bimestriel, intitulé « Terminal en lutte », qui en est à sa troisième édition.