L’affaire a semble-t-il commencé à la veille du week-end dernier avec le licenciement impromptu par Oracle et sans respect des délais d’information d’usage d’un nombre significatif de salariés américains (entre 500 et un millier selon les sources). Ceci afin de faire des économies sur les coûts marketing, commerciaux et administratifs. Mais les blogs de salariés bruissent déjà d’une réorganisation de bien plus grande ampleur qui pourrait conduire l’éditeur à licencier 10% de ses effectifs (84 000 salariés).