Si l’on en croit Challenge, la DGGCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) a perquisitionné au siège de Free la semaine dernière.

Les enquêteurs chercheraient à déterminer si l’opérateur bride les débits du réseau 3G afin de décourager la consommation de données, le but étant d’éviter de payer une redevance trop élevée à Orange.

L’association UFC-Que Choisir, qui avait constaté « un manque criant de qualité des services 3G de Free Mobile en itinérance », avait porté plainte en début d’année contre l’opérateur pour pratiques commerciales trompeuses.

Les fonctionnaires de Bercy s’intéresseraient également à une éventuelle vente à perte liée aux forfaits à deux euros (et à zéro euro pour les détenteurs d’une Freebox).