À l’occasion de son assemblée générale qui s’est tenue le mardi 29 septembre, le Syntec Numérique a voté plusieurs modifications de ses statuts et notamment la possibilité pour ses membres titulaires, collectifs et Syntec Croissance de proposer un candidat à l’élection de la présidence du Syntec Numérique, faculté offerte jusqu’alors aux seuls administrateurs.

Le syndicat professionnel a également revu sa gouvernance et entériné la nomination de 14 administrateurs à son conseil d’administration. Au total, ce sont 30 administrateurs qui siègent au Conseil d’administration de Syntec Numérique. Les 14 administrateurs nouvellement nommés ou renouvelés de cette année sont :

Collège des Entreprises de Services du Numérique (ESN) : Jean-Paul Alibert (T-Systems), Godefroy de Bentzmann (Devoteam), Mehdi Houas (Talan), Cyril Malargé (Sopra Steria), Frédéric Sebag (Open), Laurent Sicart (Orange Business Services) et Thierry Siouffi (Atos).

Collège des Editeurs de logiciels : Frédéric Chauviré (SAP), Jean-Philippe Couturier (Biznet.co : Whoz.com), Christophe Depeux (IP-Label), Karine Picard (Oracle) et Olivier Vallet (Docaposte).

Collège des Sociétés de Conseil en Technologies : Arnaud Maury (Altran) et Gilles Prunier (Akka Technologies).

Le renouvellement du bureau, notamment la nomination d’un nouveau président – fonction occupée jusqu’à ce jour par Godefroy de Bentzmann – interviendra plus tard.

Dans le contexte particulier marqué par le Covid-19, les axes stratégiques et les axes prioritaires définis par le Syntec Numérique pour la période 2019-2021 restent d’actualité. Il s’agit de :

La formation qui permet la mise à niveau des collaborateurs des entreprises du secteur et la reconversion de ceux que la crise pourrait laisser sans perspective.

L’inclusion des territoires.  Les délégations régionales du Syntec Numérique, aux côtés de leurs partenaires, continueront à travailler au développement des métiers du numérique en région et à la réduction de la fracture numérique.

Le numérique responsable. Le Syntec Numérique à travers son programme Numérique Responsable continuera à aider les acteurs du numérique à réduire leur empreinte écologique d’une part et à orienter le numérique pour le mettre au service de l’environnement d’autre part.