C’est Reuters qui nous l’apprend : avant d’être poussé vers la sortie le co-président de RIM Jim Balsillie envisageait de proposer à deux opérateurs majeurs, l’un en Europe, l’autre en Amérique du Nord, d’élargir le service de messagerie du constructeur aux propriétaires de terminaux concurrents. Concrètement, ces opérateurs auraient utilisé le réseau du Canadien pour proposer des services bon marché de messagerie ainsi que des accès à certains réseaux sociaux à partir de téléphones basiques.