Oracle n’assurera plus le support pour ses applications hébergées sur des machines Sun qui ne font pas l’objet d’un contrat de maintenance en bonne et due forme. C’est ce l’on apprend sur le site de l’éditeur.

Bon prince ce dernier affirme que les machines en fin de vie ne sont pas concernées.

Les clients qui ne possèdent plus de contrat de maintenance hardware mais qui se souhaitent bénéficier du support logiciel devront payer un droit de réactivation équivalent à 150% du dernier tarif de maintenance appliqué.

On se demandait de quelle manière Oracle allait rentabiliser le rachat de Sun. Après l’adressage de la clientèle en direct et la reprise en main des services assurés jusqu’alors par les partenaires, nous voici avec un nouvel élément de réponse. On découvre ainsi que ce sont les clients et le réseau qui financent l’acquisition du constructeur informatique.

Quoi qu’il en soit, si cela continue la voracité de l’éditeur finira par entrer dans la légende. Avec le risque de voir les clients Sun filer vers d’autres horizons.