Comme nous l’avions prévu Apple a dévoilé son iWatch. Pardon, son Apple Watch ! La firme à la pomme a ainsi voulu (et probablement réussi à) regagner son retard sur la concurrence.
A première vue, rien de bien révolutionnaire, à part la molette qui permet de faire défiler les infos sur l’écran.
La firme à la pomme s’assure surtout pour le futur de nouvelles sources de revenus indirects. L’utilisateur devra ainsi disposer au minimum d’un iPhone 5, la montre n’étant pas autonome, contrairement à d’autres récemment mises sur le marché Il faudra également se fournir en bracelets dans les boutiques de la marque.
Cela dit, Apple réussira probablement à faire avec sa Watch ce qu’elle a toujours fait : populariser en les améliorant des technologies inventées par d’autres, le design en plus.
Si la montre connectée décolle un jour elle le devra très probablement à la firme à la pomme.
Séance de rattrapage également concernant le nouvel iPhone. La firme de Cupertino se met enfin aux écrans plus grand – Steve Jobs, qui n’en voulait pas, doit se retourner dans sa tombe – avec l’iPhone 6 (4,7 pouces) et l’iPhone 6 Plus (5,5 pouces).
A part cela rien de bien révolutionnaire, sinon quelques améliorations telles iOS 8 qui récupère quelques fonctions que l’on trouve déjà sur Android et – enfin – la NFC.
Une opération qui s’annonce très lucrative pour Apple puisqu’elle s’accompagne d’un système de portefeuille (ou porte-monnaie) électronique baptisé Apple Pay
Une opération qui s’annonce très lucrative disions-nous. A condition toutefois que les établissements bancaires et les commerces jouent le jeu. A Cupertino on compte pour cela sur le rouleau compresseur que constituent les millions d’aficionados de la marque.