« SCC a consciemment participé à des opérations de fraude à la taxe sur la valeur ajoutée dans le cadre d’un négoce européen de composants électroniques, entre juin 2005 et janvier 2006 […], portant sur soixante-quatre transactions d’un montant global de 95 919 507 euros », avait estimé en première instance le Tribunal administratif de Montreuil le 7 février 2013 pour légitimer les plus de 23 M€ de rappels de taxe sur la valeur ajoutée, droits, intérêts de retard et majoration qui lui avaient été assignés pour la période allant du 1er avril 2004 au 31 juillet 2007. Un jugement validé cet été (jugement du 7 juillet) par la 3e chambre de la cour d’Appel de Versailles, qui a rejeté la demande d’annulation de SCC. Selon ChannelBP, ce dernier aurait décidé de se pourvoir en cassation.