class= » alignleft size-full wp-image-27656″ style= »margin: 6px; float: left; » alt= »Esiea » src= »https://www.channelnews.fr:8080/wp-content/uploads/2010/04/Esiea.jpg » width= »75″ height= »75″ width= »75″ height= »75″ / deux de ses invités ont neutralisé en quelques minutes 6 des 7 antivirus les plus répandu du marché en utilisant des techniques de hacking.  Une démonstration confirmée quelques mois plus tard lors d’une deuxième édition à l’occasion de laquelle une poignée d’élèves ingénieurs sont venus à bout cette fois d’une quinzaine d’antivirus avec des méthodes comparables. Une manifestation qui se déroulait quelques jours après la diffusion par McAfee d’une mise à jour buggée de son antivirus qui mettait en quarantaine un exécutable Windows. Résultat des centaines de milliers de postes bloqués et l’obligation d’intervenir manuellement poste par poste pour les remettre en route. Avec un préjudice pouvant aller jusqu’à plusieurs dizaine de dollars par PC bien souvent à la charge des partenaires de l’éditeur. Dans ces conditions, personne n’a été surpris d’apprendre que les antivirus gratuits avaient tendance à prendre le pas sur leurs homologues payants, lesquels ne représentent plus que 58% des solutions installées.

Les principaux antivirus tenus en échec par de vieux codes

McAfee : des dizaines de milliers de PC plantés par une mise à jour buggée

Bug : McAfee va devoir dédommager ses clients

Encore une étude qui démontre l’inefficacité de certains antivirus

Antivirus : les logiciels gratuits devant les payants, les éditeurs européens dominent