L’espionnite ne concernerait pas que les services américains et britanniques, voire français. Nos confrères de DataNews répercutent ainsi les propos d’un parlementaire belge qui accuse l’opérateur historique de s’intéresser de près aux messageries de journalistes et parlementaires critiques envers sa gestion.

Le député démocrate-chrétien affirme que sa messagerie a été fermée par l’opérateur, officiellement pour des raisons de sécurité, après avoir reçu et transmis des messages critiques à l’encontre du directeur général de l’opérateur. De même un blog hébergé par Belgacom, alimenté par un certain nombre de journalistes informatiques, aurait été bloqué après une série d’articles mettant eux-aussi en cause le CEO. 

Chez Belgacom on nie bien entendu les faits.