Une étude réalisée par le cabinet américain TheInfoPro cause bien des soucis à VMware. Il semble en effet qu’une bonne partie des professionnels de l’IT lorgnent de plus en plus vers les solutions de virtualisation alternatives qu’offrent Microsoft, Citrix et Red Hat. Ils ne remettent pas en cause la qualité de la technologie de l’éditeur.
Ils sont d’ailleurs une grande majorité (75%) à ne pas vouloir l’abandonner pour leurs applications critiques. Ils sont cependant nombreux (47%) a envisager d’autres alternatives pour des projets moins ambitieux ou à avoir franchi le pas. « Pourquoi utiliser une Porsche quand une Toyota suffit », résume l’un d’entre eux.
Alors qu’à force d’acquisitions, les fournisseurs tendent à offrir des solutions uniformes de bout en bout, de plus en plus de décideurs informatiques prêchent pour une hétérogénéité bien pensée. Cette volonté d’indépendance est facilitée il est vrai par la politique de certains éditeurs. Qu’un HyperV soit désormais compris dans Windows Server 2008 R2 semble peser lourd dans la balance de certaines entreprises.