A Nice, la direction du site R&D de Texas Instruments vient de signer une convention de revitalisation pour le bassin d’emploi dont elle relève. Un pacte conclu avec les services de l’Etat (préfecture de Nice) par lequel le géant du semi-conducteur s’engage à financer avec une enveloppe de 1,7 million d’euros une série de dispositifs visant à compenser les 334 emplois supprimés cette année. L’aide au développement de projets, l’abondement de fonds d’amorçage et de prêts d’honneur font partie des mesures soutenues par TI, médiatisées notamment par les pôles de compétitivité de la région, dont SCS (Solutions Communicantes Sécurisées).

Compte tenu de la nature des emplois visés par les récentes charrettes du secteur (chez Texas Instruments, Wipro, Schneider, etc), une partie des emplois ciblés par ces mesures (324 créations escomptés en 24 mois) devraient concerner le marché de la mobilité, depuis le hardware (conception) jusqu’au développement d’applications, en passant par les fonctionnalités multimedias des smartphones (dont le site de Texas Instruments de la Côte d’azur est le promoteur au plan mondial avec la plateforme OMAP4).