Les rencontres d’affaires Med-IT 2008 se dérouleront les 22 et 23 avril pour l’édition algérienne et les 18 et 19 juin pour l’édition marocaine. Les deux événements sont marqués par la forte représentation des éditeurs d’ERP.

 

La société d’organisation d’événements des Bouches-du-Rhône Xcom reconduit pour la septième année consécutive ses rencontres d’affaires Med-IT. Désormais décliné au Maroc, en Tunisie (depuis 2003), en Algérie (2004) et au Sénégal (2005), cet événement, placé sous l’égide du Ministère de l’Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, met en relation les entreprises françaises du secteur des technologies de l’information avec les clients et les professionnels de l’IT des pays concernés. Le visitorat se répartit à 50%

L’édition algérienne se tiendra les 22 et 23 avril prochain au Palais de la Culture d’Alger tandis que l’édition marocaine se déroulera les 18 et 19 juin au Casablanca Technopark. Comme les années précédentes, Med-IT Algérie, qui est devenu le premier salon IT national, accueillera une centaine d’exposants dont la moitié d’entreprises locales. Med-IT Maroc, qui a gardé son format initial de rendez-vous d’affaires, en accueillera une vingtaine. Le premier attend près de 1500 visiteurs (dont 40% de professionnels IT), le second environ 600 (dont 50% de professionnel IT).

Dans un cas comme dans l’autre, cette mouture 2008 est marquée par la forte représentation des éditeurs de progiciels de gestion intégrés. Seront ainsi présents des pointures comme Sage, SAP ou Cegid. Prenant la mesure de cette poussée des ERP, les organisateurs ont d’ailleurs décidé de consacrer un cycle de conférence et une table ronde au sujet.

Parmi les autres sociétés exposantes à Alger on peut citer Delta Informatique (solutions de vidéosurveillance), Bull, Business & Décision, Ericsson, Groupe Alizée, Pivotal, Streamserve (gestion électronique de document), Streamwide (solutions télécoms de Messagerie unifiée), APC, Nitram… L’organisateur est même victime de son succès : contraint par l’espace il a dû se résoudre cette année à refuser une dizaine d’exposants.