Affectée par l’arrêt de certains contrats de sous-traitance technologique, notamment chez Renault, Alten souhaitait mettre en place des mesures de chômage partiel pour 400 de ses salariés. La société de conseil et d’ingénierie avait écrit en ce sens à la Direction départementale du travail. Cette dernière a trouvé la demande injustifiée. A la grande satisfaction des syndicats. Bien que n’étant pas opposés sur le fond, ceux-ci souhaitent que la période de chômage soit utilisée pour de la formation et que le montant de l’indemnité soit porté à 100% du salaire, les entreprises prenant à leur charge la différence. Ce que les employeurs refusent. Cela dit, la baisse d’activité est un vrai problème, qui n’est malheureusement pas prêt d’être résolu.