Les autorités américaines et canadiennes ont fait preuve de célérité. Elles ont en effet déjà validé la vente de Nortel Enterprise à Avaya, annoncée la semaine dernière. Les juristes ont estimé que le prix de 900 millions de dollars « était correct, que la vente correspondait aux intérêts des 2 parties et avait été réalisée honnêtement ».

Le juge des faillites américain a par ailleurs considéré que la plainte de Verizon était irrecevable. L’opérateur avait en effet affirmé que l’opération portait atteinte à la sécurité des États-Unis. Il reste encore à l’équipementier américain a recevoir le feu vert de Paris et de Jérusalem.