D’après le New York Times, IBM se serait séparé d’au moins 4.600 personnes depuis le 1er janvier. D’après le responsable des ressources humaines du constructeur, il s’agirait de licenciements concernant des domaines en perte de vitesse, compensés par des embauches dans d’autres secteurs plus porteurs. Un avis qui ne semble pas partagé par les syndicats qui dénoncent des licenciements en douce afin de contourner la législation. Notons, que le principal d’entre eux, Alliance@IBM, affilié à la puissante AFL-CIO, parle de 16.000 départs et évoque la délocalisation de nombreuses fonctions vers l’Inde où Big Blue envisage d’ailleurs d’acheter Satyam.