Après l’intégration récente de la solution de CRM d’Ines a son catalogue, Ocea estime avoir l’offre et les compétences nécessaires pour s’imposer comme l’interlocuteur informatique unique de ses clients.

 

Il ne lui manquait plus qu’une solution de relation client en mode SaaS pour lui permettre de compléter son offre. C’est chose faite avec le référencement récent par l’intégrateur bordelais Ocea Technologies d’Ines, une offre “full web” qui complète son catalogue de CRM, comprenant Vente Partner de Sage et Eudoweb.

« Nous pouvons dorénavant proposer une gamme complète de solutions qui va de la téléphonie, en passant par le matériel, jusqu’aux outils logiciels comme l’ERP, indique Yann Julien, directeur commercial de Ocea Technologies. Il y a une grande cohérence dans notre offre, qui répond à un besoin sollicité par nos clients ». Très à l’écoute du marché depuis sa création, OceaGroup a en effet construit son catalogue au fil des besoins de sa clientèle.

Issu du monde des réseaux, l’intégrateur commence son activité par le câblage télécoms, puis rajoute le câblage électrique et informatique. En 2000, c’est le virage CRM, suivi par l’ERP en 2004. La téléphonie viendra en 2005, le e-commerce en 2006, la distribution de Panasonic en 2007.


Une stratégie horizontale et verticale

 

Cette stratégie de compétences horizontales se double d’une stratégie verticale. Dernier secteur très porteur selon Ocea Technologies, la filière charpente-ossature bois et dérivés, très développée dans le Sud Ouest. Pour ce type d’activités, l’intégrateur se positionne en interlocuteur unique en mettant en avant sa capacité à proposer une offre globale répondant à tous les besoins des clients.

Poussé par les ventes d’ERP, qui constituent aujourd’hui le secteur le plus dynamique de l’intégrateur, Ocea Technologies entend poursuivre, même en temps de crise, une croissance de 20% l’an. « Les clients sont très sensibles à la notion de coûts, poursuit Yann Julien. L’ERP est un bon moyen de les rationaliser et de contrôler ses dépenses au mieux, ce qui explique l’intérêt pour ce type de solutions ».

Une boulimie d’acquisition de compétences qui devrait s’arrêter là pour quelque temps, l’intégrateur préférant dorénavant capitaliser sur les compétences acquises et gonfler ses effectifs durant l’année 2009.