L’enseigne spécialisée dans le dépannage des smartphones et autres compagnons mobiles inaugurait ce jour son centième point service à Nîmes. Le réseau devrait continuer à s’étoffer cette année.


Cent ouvertures en six ans. C’est le bilan flatteur dont peut se prévaloir Martine Bocquillon, dirigeante-fondatrice du réseau Point Service Mobiles (également à l’origine du réseau Vidélec), qui inaugurait ce jour à Nîme son centième point services. Spécalisée dans le service après-vente pour smartphones et autres appareils mobiles, l’enseigne a fondé son succès le dépannage express. Plus de 80% des appareils sont réparés en moins de quarante minutes. Les clients dont le téléphone ne peut pas être réparé dans l’heure se voient proposer gratuitement un appareil de courtoisie le temps de l’intervention.

Les appareils sous garantie sont réparés gratuitement dans le cadre des agréments passés directement avec les constructeurs (Samsung, Nokia, LG, Sony et, tout récemment, ZTE). Mais le gros des interventions concerne les exclusions de garantie : c’est-à-dire principalement la casse et l’oxydation. Les clients peuvent espérer recouvrer l’usage de leur appareil pour un tarif équivalent en moyenne à un quart ou un tiers de sa valeur neuve.

Constitué à près de 90% de franchisés, le réseau devrait continuer de s’étoffer cette année. Aux quelque 20 ouvertures intervenues en 2012 devraient s’en ajouter une quinzaine en 2013, dont certaines seront à mettre au compte de franchisés déjà installés. Il faut compter un budget de 70.000 €, hors droit au bail, pour une installation (les surfaces font en moyenne une cinquantaine de mètres carrés). Les candidats à la franchise doivent justifier d’une bonne connaissance du marché des télécoms et souvent d’une expérience dans le dépannage.

L’enseigne a doublé sont chiffre d’affaires en 2012, à 10 M€, et a vu le nombre de ses interventions passer le cap des 300.000, en progression de 30%. Et Martine Bocquillon se montre particulièrement optimiste pour l’avenir. Les interventions devraient encore progresser de 35% et lesfacturations de 40%. Une augmentation des volumes liée d’une part à l’accroissement des points services mais également à la montée des tablettes et des ordinateurs portables. Représentant moins de 10% des interventions, ces deux dernières catégories pourraient rapidement en représenter le quart.