Microsoft ne voulait pas réitérer avec New York la mésaventure qu’il a eu avec la ville de Los Angeles l’an dernier, lorsque la ville californienne a troqué Microsoft Exchange contre Google Apps pour ses 30.000 employés.

L’éditeur s’est donc montré conciliant avec le maire de « Big Apple », Michael Bloomberg, lorsque ce dernier – par ailleurs un redoutable homme d’affaires – a demandé des concessions financières importantes pour le renouvellement des applications destinées aux 100.000 employés de sa ville.

Dans certain cas, Microsoft ne facturera que les logiciels les plus couramment utilisés. Résultat : New York réduira sa facture d’environ 20 millions de dollars par an. C’est plus que ce que ses responsables espéraient. En effet ces derniers avaient pour objectif d’économiser 50 millions de dollars sur 5 ans. A qui le tour ?