Pas sûr. En effet la section antitrust du Département américain de la justice vient de réclamer un complément d’enquête à propos, semble-t-il, de points de détail concernant la licence Java du fabricant.
C’est d’autant plus dur à avaler par les protagonistes de l’affaire que le délai de 30 jours d’examen par les autorités expirait quelques heures après la décision du gendarme de la concurrence.
Pour Daniel Wall, un juriste d’Oracle, cela ne saurait remettre en cause la transaction qui pourrait intervenir avant la fin de l’été. Rappelons qu’Oracle s’était fixé le 31 août comme date butoir.