La société de services pure player Microsoft vient de boucler son année 2019 sur un chiffre d’affaires de 35,4 M€ en croissance de 28% par rapport à son exercice 2018. L’effectif est passé de 200 à 250 collaborateurs dans le même temps. La croissance a été portée par le développement des agences régionales ouvertes en 2017 et 2018 à Rennes, Lille, Toulouse et Lyon et par l’appétence des entreprises (grands comptes et ETI) pour des solutions de Microsoft. « Office 365, Azure, la sécurité sont au cœur de tous nos projets, expose Laurent Cayatte, PDG de Metsys. Et les clients ont besoin de toutes ces expertises partout en France avec la même qualité de services« .

En 2019, Metsys s’est donc employé à compléter sa couverture régionale en ouvrant des agences à Nantes (juillet) et à Tours (mai). Moins d’un an après son ouverture, la première compte 15 collaborateurs (à comparer aux 35 collaborateurs que comptent ses agences les plus anciennes). À Tours, Metsys a implanté un centre de services de sécurité qui a vocation à collecter les logs des clients, les analyser et proposer des réponses sur incidents.

2019 a aussi été marquée par l’enrichissement de son catalogue d’offres technologique avec le lancement d’une practice de cinq personnes dédiée à l’offre Business Platform de Microsoft (Dynamics CRM, Power platform…). Metsys a également lancé une offre de services managés basée sur la mise à disposition de postes de travail (Surface) équipés de toute la pile de logiciels Microsoft pour un prix par utilisateur et par mois.

Poursuivant sur sa lancée, Metsys vient d’ouvrir une nouvelle agence à Bordeaux (deux personnes) et vient de recruter ses premiers consultants à Aix-en-Provence pour une ouverture d’agence à l’horizon juin-juillet (contre avril-mai initialement prévu). Metsys cherche encore à ouvrir une agence à Strasbourg pour compléter son maillage national. L’entreprise espère aboutir avant la fin de l’année.

Pour 2020, la société de services vise un chiffre d’affaires de 45 M€ (+27%) et un effectif de 350 personnes. Des objectifs qui pourraient bien-sûr être retardés selon les développements de la crise du Covid-19.