SQLI – qui a engagé une vaste restructuration au cours de l’année dernière – vient de dévoiler les résultats de son exercice 2013. La SSII a réalisé un chiffre d’affaires de 154,2 millions d’euros, en recul de 2,5%. A périmètre

identique, ce résultat est stable grâce à une croissance de 2% enregistrée au cours du second semestre).
Après déconsolidation de l’activité Santé cédée et intégration du coût de la réorganisation opérée en cours d’année, le résultat opérationnel courant s’élève à 7,3 millions d’euros.

Les activités au cœur de la branche Digital Commerce (agence digitale, e-commerce, réseaux sociaux) connaissent sur l’exercice des taux de croissance à deux chiffres. De même, l’agence SQLI Digital Technologies de Paris bénéficie d’une bonne dynamique, tant en termes d’activité que de marges. Enfin, l’international (Benelux, Suisse et Maroc) contribue pour 20% du chiffre d’affaires de l’exercice 2013 avec des niveaux de rentabilité supérieurs au reste du groupe.

Avec 10,6 millions d’euros, le résultat opérationnel affiche une progression de 25%. La plus-value de cession du pôle Santé (5,1 millions d’euros), comptabilisée au second semestre, compense largement l’impact de la dépréciation enregistrée au premier semestre de la branche SAP (-1,4 millions d’euros). ?Le résultat net, part du groupe, ressort à 6,5 millions d’euros, en croissance de 42% sur un an. Le bénéfice par action atteint ainsi 1,81 euro contre 1,26 euro en 2012.

Au 31 décembre 2013, les fonds propres s’élevaient à 69,1 millions d’euros soit 19,19 euro par action, pour une trésorerie brute de 23,7 millions d’euros. Après prise en compte de la dette financière, la trésorerie nette s’élève à 13,4 millions d’euros.

Pour l’année en cours, la SSII compte sur ses nouvelles offres (Social2Cash, Augmented Banking), le renforcement de ses compétences marketing, ainsi que sur des opérations de croissance externe pour poursuivre la dynamique constatée au cours du second semestre.? Elle a pour objectif  » de générer une croissance organique et consolidée de son chiffre d’affaires et d’améliorer sa marge opérationnelle courante. «